Une ordonnance publiée au Journal officiel du vendredi 30 janvier 2015 apporte un certain nombre de précisions concernant des situations particulières de temps partiels :

Rumeurs malveillantes, propos dégradants ou humiliants, plaisanteries de mauvais goût, critiques constantes et injustifiées, surcharge de travail voire sous occupation… 1 salarié sur 3 se dit victime de pressions sur son lieu de travail, par son supérieur hiérarchique ou ses collègues de travail.

Beaucoup d’entreprises mettent en place des entretiens d’évaluation, le plus souvent annuels, afin de dresser le bilan du travail accompli par les salariés au cours de l’année et de mesurer les progrès réalisés par rapport à l’année précédente.

Constitue un harcèlement moral le fait pour l’employeur de confier de manière habituelle à une salariée des tâches qui dépassent ses capacités.

La fin de l'année s'approche, et avec la conduite des entretiens annuels d'évaluation s'intégrant dans les pratiques de plus en plus d'entreprises, beaucoup s'interrogent sur la revalorisation des salaires, et les attentes peuvent être grandes. Mais quel est sur ce point la position suivie par les entreprises ? 

Les pères sont protégés comme les mères.

Vous rentrez tard les soirs ou réduisez votre pause déjeuner car dans votre entreprise en ce moment, les heures supplémentaires sont de rigueur. Mais quelles en sont les contreparties ?

Par accord d'entreprise, les délégués syndicaux peuvent négocier un taux de majoration des heures réalisées au-delà de 35 heures plus avantageux pour le salarié que celui prévu par la loi ou la convention collective.